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4 commentaires:

mili a dit…

Merci de ton texte, respectueux de l'art mais en explicant vraiment la realitée et le danger de santé des bombes aerosols. J'espere que il y auras une solution pour tous.

Anonyme a dit…

C'est un combat contre les dangers du spray ou alors vous vous amusez à dire que "le tag c pa bo dé foi on comprond po trop ce kil font c san okune recherche" ?
Vous parlez de crédibilité dans votre édito, mais vous n'en avez aucune : vous ne connaissez rien au graffiti et le prouvez encore dans votre lettre à la Décroissance en mélangeant santé et goûts.
Les incivilités doivent être dues à votre mépris jeté depuis votre tour d'ivoire. Intéressez vous à eux, à cette culture, parlez, échangez, et vous verrez que votre haine s'éteindra.
Et quand on est intolérante comme ça on ne se permet pas de laisser des message chez Mermet.
J'ai passé dix ans de ma vie le nez sous les bombes, à respirer en milieu clos ou ouvert, et je n'ai aujourd'hui aucun problème de santé. Certes, c'est dangereux, mais à vous entendre, on dirait que c'est du plutonium.
Remballez moi ce problème qui ne concerne que trois quatre pauvres réacs et trouvez vous un feuilleton pour occuper vos journées plutôt que ça.

Anonyme a dit…

Quand un immeuble entier, des allées, des ateliers non-graffeur, des enfants, des riverains, une maison de retraite souffrent de multiples gênes allant de l'évanouissement en passant par des nausées, des vomissements, des conjonctivites chroniques est-ce que vraiment çà compte pour rien ?

Catherine G a dit…

Habitante du quartier, j'ai malheureusement l'occasion de respirer les effluves des bombes de peinture dans la cour rue Ramponeau et j'imagine très bien ce que cela peut représenter comme désagréments au quotidien avec des risques réels pour la santé des voisins proches des graffeurs.

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